My ELMostapha Nokraoui : Le chantre des villages solidaire,
Le destin de MY Elmostapha Nokraoui est intimement lié a l’association Anbdour et Imintizeght pour le développement et la coopération Aideco , une des rares issues du monde rural a mener des actions environnementales dans les villages marocains
Aideco c’est une structure qui milite pour améliorer la vie de la population des petits douars jumeaux d’Anbdour et Imin’tizeght
Deux villages situés a a quelques kilomètres de la ville de Tafraout et réputés comme tout cette région pour la beauté de leur nature et pour leur valles riches en arganiers et amandiers My Elmostapha Nokraoui en compagnie d’autres associatifs ont réussi a mettre en place de bonnes pratiques écologique prêtes a être généralisées dans les quatre coins du royaume afin de développer un projet cher au cœur de notre militant les villages solidaires.
Tout d’abord l’association a lancé le KERZ AYDANK des opérations de labour collectifs cette tradition d’agriculture solidaire se répète tous les ans pendant six semaines et consiste à « « mettre en valeur les principes du travail collectifs de coopération de solidarité et de partage des moyens pour subvenir aux besoins des populations démunies ». En pratique, les agriculteurs se partagent les bêtes de trait disponibles et utilisent des semences traditionnelles .En parallèle des journées de formation et de sensibilisation sont organisées au profit des agriculteurs sur les techniques de l’agro écologie et l’impact de ces pratiques sur la sauvegarde des sols. My Elmostapha Nokraoui et ses compères voient les choses en grand. « On travaille sur le développement de l’agrécologie à travers un système d’eau potable et d’irrigation inégalé dans la région, et par la culture de produits agricoles biologiques locaux » L’idée, c’est de « mettre en place un nouveau modèle de développement local, intégré et durable, spécifique à notre région, centré sur l’humain et autour d’activités agrotourististiques. Un modèle qui peut être dupliqué ailleurs, dans d’autres zones arides et semi arides du pays. Nous comptons aussi construire un point de contact sanitaire de proximité. » ils s’agit de faire des deux douars des écovillages , qui font du vert , un vecteur de développement pour la population locale , à travers l’agriculture bien sûr , mais également via le tourisme équitable et l’artisanat local .
Hicham Houdaïfa , journaliste auteur dans l’ouvrage intitule MAROC : JUSTICE CLIMATIQUE, URGENCE SOCIALE